mardi 4 mars 2014

Père CARPENTIER

50 ans de vie aux services des pauvres

50 ans d’abandon total au Seigneur

50 ans dans les pas du Christ

50 ans de vie sacerdotale.

Père CARPENTIER : que peut bien signifier ce nom ?

Consacré par
Alliance du
Rédempteur comme
Prophète et missionnaire de la sainte
Eglise catholique. Ta
Notoriété sera un exemple a cause de ton
Témoignage et de ton
Ingénuité dans
L’Enclos du
Ressuscité

 

LES TEMOIGNAGES DU JUBILÉ



 (Monsieur NLAM Leonard de la paroisse St Raphael d’Oliga)
La fête est organisé je dirai dans le siège des oblats. Nos trois jubilaires sont aux yeux de la nouvelle génération un exemple à suivre et en même temps une fierté pour les ainés. 50 ans au service de Dieu a été chose possible parce qu’ils ont cru et répondu à l’appel du Christ. Ils sont arrivés au Cameroun où il y avait une précarité matérielle accru et la population vivaient dans leurs traditions, dans l’animisme. Comment faire pour amener ces derniers à abandonner leur vieille tradition ? À cette questions, nos trois jubilaire on trouvés la réponse. A leur époque, en plus de la prêtrise ils étaient aussi des électriciens, des cultivateurs, des maçons, des infirmiers, des éleveurs.
Ces trois pères viennent de l’Europe mais malgré le climat chaud, les cultures différentes, de nouvelles langues, et même les maladies endémiques, ils ont pu s’adapter et mener à bien leur mission.
Grosso modo, je salue leur persévérance, leur loyauté et leur fidélité envers leur communauté et l’Eglise. Que leur leçon soit pour nous laïcs ou future prêtre un enseignement et une motivation.


(Père ILUKU Toussaint / missionnaire de sacré cœur)

Je rends grâce à Dieu pour ses merveilles à l’endroit de non seulement de nos trois pères mais aussi à l’endroit de tous ceux qui de prêt ou de loin ont contribué à la réalisation de leur mission. C’est une grande joie et en même temps une interpellation pour mon ministère sacerdotale.

Je salue leur grande humilité, leur esprit de sacrifice et de mission. C’est un grand témoignage pour tout le clergé africain et pour chaque chrétien.


(Sœur Félicité de la congrégation sainte famille de Bordeaux

Je suis très heureuse de cette action de grâce et je remercie le Seigneur pour ses merveilles à l’endroit de ses serviteurs.

J’ai été marqué par la persévérance et le courage des pères car la vie (la mission) n’est pas que rose. Mais malgré tout ils ont tenu et ils célèbrent aujourd’hui 50ans de sacerdoce. Que la gloire soit rendue à dieu.


(Père Mauricio/ missionnaire du PIME)


Je suis très content parce que quand je suis arrivé à Touloum, j’ai bénéficié de leur passion missionnaire. Leur vie missionnaire a été pour ma modeste personne source d’inspiration et d’encouragement. Que Dieu les bénisses abondamment.

(AVI DEVO IGRI Aimé de la chorale Toupouri de la paroisse st Paul de Melèn)
Les oblats sont venus vulgariser l’Evangile de Dieu dans la région du Nord qui était animiste à travers ces trois illustres pères. Ils ont montrés le nouveau et meilleur chemin à suivre qui n’est pas la vie païenne mais plutôt la vie des enfants de Dieu. Grace aux oblats plusieurs Toupouri sont aujourd’hui chrétiens. Que la paix règne dans toutes les missions oblates.

 
 

 

lundi 3 mars 2014

JUBILE D’OR SACERDOTALE D’UN ILLUSTRE SERVITEUR


Le révérend père François CARPENTIER vit le jour en 1936. Le septembre 1956, il fait sa première profession religieuse. Puis le 05 avril 1964 à Solignac, il est  ordonné prêtre de Jésus-Christ. Il est originaire du diocèse de Lille, province de la France Nord et il a eu pour pays de mission le Cameroun. Qu’en est-il de sa famille, sa formation, les personnes (les saints) qui l’on inspirés et sa mission ?

1.    MA FAMILLE


« Je pense que je suis né oblat et le seigneur à préparer cela à travers ma famille » dit-il.
Mon père était un croyant. Ma mère est issue d’une famille de dix enfants dont l’ainé est oblat de Marie Immaculé puis évêque coadjuteur au canada.
En 1946 nous sommes rentrés au Nord de la France ou nous avons connu la guerre alors que j’avais que sept ans. Les bombardements étaient notre quotidien. Mais grâce au ciel, nous avons étés préservé de tout danger.
Ma vocation doit ses racines à ma famille car dès la petite enfance, j’ai été initié à l’amour de la prière. Les matins la prière était  individuelle mais le soir c’était la prière familiale. On récitait chaque jour le chapelet avec les bras en croix pendant la dernière dizaine. Ces évènements m’ont beaucoup marqués. Et à l’âge de 13 ans, après une communion j’ai entendu l’appel de notre Seigneur. J’ai aussitôt confié a mon oncle se désir qui m’animais. En claire, je pense et je crois que le plus belle héritage que mon légué mes parents c’est la foi.

2.    MA FORMATION
Avant de rentrer chez les oblats, je les connaissais vu que mon oncle était oblat.
Ma première étape de formation religieuse était le noviciat. J’y garde un souvenir extraordinaire et merveilleux  en ce sens qu’on faisait tout ensemble. Aussi, malgré les modestes moyens du noviciat dans le temps, on était solidaire entre nous la preuve en est qu’on utilisait deux (02) bible de Jérusalem pour 27 novices. De même pour le scolasticat mais cette fois-ci avec un effectif de 120 scolastiques.

Je n’ai pas trop aimé ma formation philosophique parce que je trouvais la philosophie abstraite. Par compte j’avais de l’admiration pour la théologie dans la mesure où  elle répondait à mas attentes. J’ai été en Egypte pendant 2ans ou je me trouvais parmi les musulmans. J’ai pu passer 2h de méditation dans le tombeau de notre Seigneur Jésus-Christ.

3.  LES PERSONNES (LES SAINTS) INSPIRATRICES
J’ai été profondément marqué par St François d’Assise et Ste Thérèse pour leur humilité, leur simplicité et leur dévouement pour la cause du Christ.

Dans la famille oblate, j’ai beaucoup été inspiré par St Joseph Gérard et c’est à partir de son histoire que j’ai décidé d’être missionnaire en Afrique. Aussi par notre fondateur St Eugene de Mazenod.

4.    LA FORMATION
Le 12 mai 1964 je reçois ma 1ere obédience pour le Tchad-Cameroun. Initialement nommé pour la sir à la montagne, je fus par la suite envoyé à la paroisse Ste Anne de Yagoua grâce à mes talents musicaux. A Yagoua, j’ai pu apprendre la langue locale et fais l’apostolat auprès des malades ,des prisonniers et aussi l’aumônier de la prison.

Apres 20ans, je reçois ma 2e obédience pour la France ou j’ai passé 4ans et demi en tant que représentant de la province du Cameroun. Puis ma 3e obédience pour encore le Cameroun et par la suite je fus nommé aumônier diocésain de la vocation, ce fut ma 4e obédience.

En 1995, j’ai été mis en plein temps ou j’ai, pu faire une expérience formidable.

 Et enfin ma 5e obédience an tant que collecteur de fonds pour la province du Cameroun.

50 ANS ÇA SE FETE


Le dimanche 02 mars 2014, la chapelle du scolasticat Yves Plumey de Yaoundé a été prise d’assaut par de nombreux chrétiens catholique. Ces fidèles chrétiens sont venus des quatre (04) coins du monde pour célébrer le jubilé d’or sacerdotal des pères François CARPENTIER, Jean LAMY et Gaby CRUGNOLA. Cette fête a débuté le samedi 01 mars  avec les témoignages fortifiants et édifiants de nos trois illustres pères et s’est achevé le lendemain 02 mars. Le clou de la cérémonie était la célébration d’une messe solennelle qui a débuté à 11heure avec pour célébrant principale la provinciale du Cameroun en la personne du père Raymond Pierre NANI accompagné d’une vingtaine d’autre pères et une chapelle qui refusait du monde.

Deux grande chorale ont animé cette célébration eucharistique : la
chorale des scolastiques de la maison Yves Plumey et la chorale Toupouri de la communauté du grand nord de la paroisse St Paul de Ndzong Melèn. Apres la messe tous les convives se sont retrouvé sur l’esplanade du scolasticat pour exécuter quelques par de danse du peuple Toupouri. Cette petite tribune de danse  s’est suivie de l’agape fraternel. Puis l’apothéose avec encore la musique et la danse Toupouri. Notons que c’est dans la ferveur, la joie, la bonne humeur et la gaieté que s’est achevé cette belle fête jubilaire.

mardi 28 janvier 2014

UNE JOURNEE A YVES PLUMEY

Wannnnnnnnnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!.
 C’est l’alarme qui vient de sonner et il est précisément  5h30mn ; heure de réveil marquant le  début des activités journalières.  Puis place aux besoins  et au bain matinal. S’ensuit de 5h55mn 7h00 à la chapelle la méditation suivie de la messe entremêlée des laudes.
A 7h05 : ouverture des portes du réfectoire ou chacun se faire un peu de force à travers le petit déjeuner. Au petit déjeuner c’est la course contre la montre car les cours commencent à 8h00 avec fermeture des portails. Et avant de prendre l’envol pour les cours, des petit services appelé affectueusement  ῝ taches matinales ῎ attendent sagement et calmement chaque scolastique.
Apres ce petit marathon, à 8h00, silence de cimetière à la grande maison de formation parce que les 62 scolastiques ont laissés dans la solitude les six (6) pères formateurs, et ils remplacent pour les prochains 4heures la poussière des chaises dans les différents lieux d’enseignements.
12h00 : fin des cours et retour à la maison
2h30 : déjeuner précédé du milieu du jour (individuel)
13h00 : fin du déjeuner, un peu d’échange entre confrères et vaisselle pour l’équipe de service
13h30 – 16h30 : silence et activités personnelles (sieste et études)
16h40 – 17h 45 : sport ou travail manuel
18h15 – 19h00 : médiation + vêpres a la chapelle
19h00 : diner suivie d’une petite recréation
20h30 : complies
22h30 : couvre-feu (grand silence)

LES CARTES DE VŒUX


Le bon sens nous montre que face à toute situation, le soutient des uns et des autres est source de joies, de réconfort et d’estime. Nous voici à la  vielle de la fête de noël et de la saint Sylvestre. Et un des meilleur moyen en plus de la prière pour souhaiter un ῝joyeux noël῎ et une ῝sainte année῎ à tous ceux qui nous sont chers et l’envoi des ῝cartes de vœux῎

C’est dans cette  optique que la maison de formation religieuse Yves-Plumey a bien voulu respecter la tradition en envoyant à chaque communauté sœur des cartes. Naturellement, les autres maisons de formations ne se sont pas contentées de recevoir sans donner. En effet, depuis deux semaines, des cartes de vœux émanant des autres maisons de formations ne cessent de sonner au portail de notre modeste habitat.

Il est certes bien de témoigner de sa sympathie à l’égard des autres, mais qu’en est ‘il lorsqu’il y en a de trop ?

Les conséquences immédiates de ces multiples cartes sont :

 Primo, vu leur nombre, elles ne donnent pas envie de lire. Secundo, il est difficile de connaitre avec certitude tous les expéditeurs. Par exemple on se contente simplement de dire : « ça vient des autres communautés ». Et tertio, on ne sert plus ou les mettre. Pour l’heure merci à tous ceux qui ont témoigné de considération et l’égard de toute la communauté Yves-Plumey. Puisse Dieu les bénis et les comblés au-delà de leur espérance.